La grande colonnade d’Apamée (cardo) à la tombée du jour | 2e siècle ap. J.-C. | Photo MABAS
Détail de l'entrée d'un bâtiment sur la grande colonnade | 1re moitié du 2e siècle ap. J.-C. | Photo MABAS
La colonne votive du carrefour nord de la grande colonnade | 1re moitié du 2e siècle ap. J.-C. | Photo MABAS
Les célèbres colonnes à cannelures torses d’Apamée | Ca. 166 ap. J.-C. | Photo MABAS
Tronçon du cardo avec colonnes à cannelures droites | 1re moitié du 2e siècle ap. J.-C. | Photo MABAS
A la grandeur des colonnades s’ajoute la finesse du décor architectural | Maison aux consoles | Photo MABAS
La mission archéologique belge est active sur le site d’Apamée depuis 1928 | Photo MABAS
Les premières découvertes remontent aux années 1930 | L'Atlante | Photo IRPA
L’une des plus belles découvertes d’Apamée : la mosaïque de la chasse | 5e siècle ap. J.-C. | Photo MRAH
A Apamée, la première mission de l’archéologue est de fouiller | Dégagement d’une colonne monolithe dans le secteur des bains du quartier Nord-Est | Photo MABAS
A Apamée, la deuxième mission de l’archéologue est de restaurer | Restauration d’un arc en plein cintre des bains | Photo MABAS
A Apamée, la troisième mission de l’archéologue est de conserver et de valoriser les vestiges | Bains du quartier Nord-Est | Photo MABAS
La dernière mission de l’archéologue est enfin de partager les fruits de son travail avec le public | Reconstitution des colonnes à cannelures torses au Musée du Cinquantenaire | Photo MRAH
Apamée aujourd’hui : l’ancienne acropole occupée par le village moderne de Qal‘at al-Mudiq | Photo MABAS